Prochain reportage : à définir

lundi 31 mars 2014

Le Flash du Lundi

Gand-Wevelgem

C'est au sprint que l'on s'explique pour la victoire de Gand-Wevelgem. L'Allemand John Degenkolb (Giant-Shimano) se montre plus rapide qu'Arnaud Démare (FDJ.fr) 2ème.

 crédit photo bein sports
La réaction de John Degenkolb : «Cette course est l'un des très grands classiques et je suis très heureux d'ajouter Gand-Wevelgem à mon palmarès. La course a parfaitement fonctionné pour nous aujourd'hui. Les gars étaient vraiment fort et Dries Devenyns (BEL) a fait un excellent travail vers la fin - il est vraiment fort en ce moment. Koen de Kort (NED) m'a parfaitement positionné dans la finale, me conduisant sur ​​la roue de Sagan et j'ai eu la bonne position et pourrait surgir, au bon moment, donc c'était un sprint fantastique. J'apprécie vraiment le sprint sur ​​le vélo Giant Propel et gagner ici est une belle façon de remercier nos sponsors pour leur confiance en nous. Ma forme est bonne et c'est un bon signe pour les prochaines grandes courses. Le Week-end dernier à Milan-Sanremo était probablement l'un des moments les plus décevants de ma carrière, et aujourd'hui tout est allé de 100% mieux que la semaine dernière donc je ne peux oublier que la déception maintenant. »

Critérium International

Le coureur lyonnais comptait parmi les favoris de l’épreuve et il a parfaitement assumé ce statut.  4e hier à l’issue du contre-la-montre individuel, Jean-Christophe (AG2R La Mondiale) savait qu’il avait une belle carte à jouer aujourd’hui dans une étape dont l’arrivée était jugée au sommet de l’Ospedale. Les derniers kilomètres ont été très tactiques entre les hommes de tête, chacun sachant que les bonifications à l’arrivée joueraient les juges de paix. C’est finalement Mathias Frank (IAM Cycling) qui remporte cette dernière étape devant Jean-Christophe qui s’impose au classement général pour une petite seconde !

Crédit photo L'Equipe

La réaction de Jean-Christophe Péraud à l’arrivée : « J’ai le sentiment du devoir accompli. Le Critérium International était un peu plus ouvert cette année et c’était une occasion à ne pas manquer. C’est une très belle épreuve et je suis heureux de la gagner, c’est vraiment du pur bonheur. Ça fait un petit moment que je cours après une victoire sur une course à étapes et c’est maintenant chose faite. Dans le final, je comptais les secondes pour m’imposer au classement général. Je n’avais rien contre laisser partir quelqu’un mais je savais que Mathias Frank était le seul à ne pas laisser sortir si je voulais l’emporter. Ça attaquait, ça temporisait, c’était vraiment très dur psychologiquement. Toute l’équipe AG2R LA MONDIALE a encore une fois très bien travaillé et Alexis (Vuillermoz) a eu un rôle très important dans les derniers kilomètres. Il a largement apporté sa pierre à l’édifice en accélérant et en  permettant ainsi de distancer certains coureurs dangereux. Prochain objectif maintenant pour moi, le Tour du Pays Basque, une course que j’affectionne particulièrement. »

Semaine Coppi-Bartali

Succès totale pour la Team Sky qui remporte la plupart des étapes. La 1ère demi étape revient à Ben Swift (Sky) qui s'impose au sprint et la 2ème demi étape, un contre la montre par équipe, est remporté par la Team Sky. Surfant sur succès, Peter Kennaugh (Sky) enlève la 2ème étape et Dario Cataldo (Sky) la 4ème. Seul ombre, la victoire d'Elia Viviani (Cannondale) au sprint sur la 3ème étape. Néanmoins, la victoire général revient au britanique Peter Kennaugh.


GP E3

Présent dans une échappée de quatre sans les autres favoris, Peter Sagan (Cannondale) remporte le GP E3. Le Slovaque règle au sprint Niki Terpstra (Omega Pharma-Quick Step) et Geraint Thomas (Team Sky).

samedi 29 mars 2014

Eduardo Sépulveda se confie sur Vélostar.fr


Il porte le nom d’un célèbre écrivain chilien, Luis Sépulveda, mais c’est sur la piste et la route qu’il écrit ses plus belles pages et se révèlent aux yeux du grand public européen, à 23 ans, l’Argentin Eduardo Sépulveda a accepté de se confier juste avant le début du Critérium International dont il fait partie des outsiders à la victoire finale.

« Tout coureur rêve un jour de participer au Tour »

Crédit photo Tour de San Luis

Loic Manceau : Eduardo, comment es-tu venu au cyclisme ? 
Eduardo Sépulveda : C’est tout simple la passion du cyclisme est venu par mon père qui le pratiquait quand j’étais jeune. Le voir courir m’a alors donné envie de pratiquer également cette discipline.

LM : Comme Christopher Froome, tu es passé par le Centre Mondial du Cyclisme d'Aigle, qu'as-tu appris là-bas ? 
ES : Dans un pays comme l’Argentine où il n’y a pas une grosse culture vélo à la base et donc pas beaucoup de courses, c’était une véritable chance d’aller au Centre Mondial du Cyclisme. J’y ai beaucoup appris aussi bien d’un point de vue personnel que sur l’entraînement au contact des coachs présents.

LM : Quelles sont les principales différences entre les courses Européennes et Sud-Américaines ?
ES : je ne sais pas si il y a de grosses différences entre les courses en Europe et les courses en Amérique du Sud. Ce qui est sur c’est qu’il est plus difficile pour des coureurs venant d’Amérique du Sud de s’adapter à la culture du cyclisme européen.

LM : Comment as-tu atterri dans l'équipe Bretagne-Séché en 2013 ? 
ES : j’ai été stagiaire à la Francaise des Jeux, une véritable chance d’avoir porter les couleurs d’une équipe World Tour réputée, mais je n’ai finalement pas signé là-bas. Mon manager a alors parlé avec différentes équipes dont Bretagne Séché Environnement, j’ai alors décidé de signer pour l’équipe, ce que je ne regrette en aucun cas.

LM : 6e du San Luis, 4e du Tour Med', 20e de Paris-Nice, tu réalises un super début de saison, c'était important de bien débuter ?
ES : Je voulais être dans l’allure dès le début, surtout avec le Tour de San Luis qui est un tour référence dans mon pays, il était également important pour l’équipe que l’on soit présent pour espérer être sélectionné pour le Tour de France.  

LM : Quels sont tes objectifs pour la suite de la saison ?
ES : Mes objectifs sont relativement simple, je veux gagner une course, peu importe laquelle, et marquer des points importants dans l’optique de l’Europa Tour (il est actuellement 41e du classement général).

LM : Participer au Tour de France cette saison serait le Graal pour toi ? 
ES : Tout coureur rêve un jour de participer au Tour. Après la décision ne viendra pas de moi, mais j’espère de tout cœur que l’équipe me sélectionnera pour cette épreuve. Un grand tour c’est quelque chose d’unique dans une carrière.

LM : Est-ce que tu penses que le titre Olympique de Juan Esteban Curruchet et Walter Perez lors de l'américaine à Pékin a décomplexé toute une génération de cyclistes argentins ?
ES : C’est une bonne question puisque cette médaille d’or a changé beaucoup de choses dans mon pays au niveau du cyclisme et a permis à l’équipe nationale d’avoir plus de fonds. Je pense aussi que cette médaille a permis à toute une génération de jeunes argentins de venir davantage vers le cyclisme. Pour l’anecdote, Walter Perez est mon partenaire d’américaine (2e des championnats Panaméricains à Mexico en 2013).

LM : Que t'apporte la pratique de la piste sur la route ?
ES : Je pense que lorsque l’on vient de la piste, on peut penser davantage à la tactique que si l’on a fait uniquement de la route… D’ailleurs on retrouve beaucoup de coureurs issus de la piste dans les pelotons comme Coquard (Europcar), Viviani (Cannondale), Terpstra (Oméga Pharma Quick Step), Thomas (Team Sky) et bien d’autres.

LM : L'engouement du cyclisme argentin par rapport au Football se mesure à quelle échelle ?
ES : Le football dans mon pays est roi. Près de 90% de la jeunesse Argentine joue au football, j’y ai d’ailleurs joué jeune avant de me tourner vers le cyclisme qui est malheureusement moins populaire, c’est notamment pour cela que pour l’instant, je pense que l’on ne verra pas d’équipe Argentine dans les courses européennes sur le modèle de l’équipe Colombia.

LM : Dernière question Eduardo, qu'est ce que tu aimes particulièrement dans la vie française ?
ES : Je trouve qu’en France il y a un certain respect entre les cyclistes et les voitures, déjà plus qu’en Argentine c’est quelque chose de très agréable.

Propos recueillis et traduis par Loïc Manceau

jeudi 27 mars 2014

Avant Première - Radio Peloton n°8


En avant première, Vélostar.fr vous dévoille un article du prochain Radio Peloton n°8, publié à la fin du mois de Mars. A noter que le n°9 sortira avant le 9 avril ...

Que deviens tu…Thomas Jordier ?


Il y a une vie après le vélo et Thomas Jordier, 20 ans cette année l’a bien compris en remportant l’été dernier deux médailles de Bronze lors des Championnats d’Europe juniors à Goteborg (Suède) sur le 400 mètres et le relais 4X400. Une fierté pour celui qui a commencé le vélo à l’age de huit ans, par du cyclotourisme avec ses grands-parents dans le Cher. « Beaucoup de personnes me disaient que j’étais véloce, j’ai alors commencé à chercher un club par chez moi dans la région parisienne » explique celui qui débutera la compétition en minime sous les couleurs du VC Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), il y trouva « une super belle ambiance où il y avait tout pour réussir » gardant en mémoire le souvenir de sa première victoire, à Vigny (Val d’Oise), épreuve servant de support pour le championnat départemental. «A l’époque il y avait un coureur Steven Francois, qui gagnait beaucoup de courses, je le surveillais, et puis à trois kilomètres, je ne l’ai plus vu, il était devant, j’ai attaqué seul, Roxane Fournier (aujourd’hui professionnel au Vienne-Futuroscope) m’a suivi et j’ai remporté ma première course, mes jambes me brûlaient tellement. » s’en suivi une 17e place au Championnat d’Ile-de-France à Livry –Gargan (Seine-Saint-Denis) et un prometteur avenir dans le vélo avant le départ de son entraîneur des début .Il rejoint en cadet 1 l’US 97 Villeneuvoise de Patrice Lerus où il reprend goût au vélo aux cotés de coureurs comme Rubens Tel, Fabio Do Régo, Joseph Verrier. « J’ai été très bien accueilli par tout le monde comme si je faisais partie du club depuis longtemps, Patrice est un dirigeant qui se dévoue corps et âme pour ses coureurs »  atteste Jordier qui reconnaît qu’il était plus en dilettante en cadets 2 sentant approcher la fin de sa pratique du cyclisme en compétition.

Et puis vint le jour du 18 avril 2010 « Je devais courir l’Inter-région de Montdidier, mais je ne m’étais pas réveillé, j’appelle mes potes qui couraient là-bas, pour avoir les résultats, il m’annonce le décès d’Adrien Pinto, percuté par un automobiliste. Après une discussion avec mes grands-parents j’ai décidé d’arrêter le vélo suite à cet incident » se rappelle-t-il encore ému. C’est sur les conseils de Patrice Lerus qui se mit à l’athlétisme. « Il ne voulait pas me voir traîner dehors comme beaucoup, il m’a conseillé cette discipline ».Thomas Jordier passe des tests au club de Tremblay-en-France sous la houlette de Franck Logel qui m’a ensuite recommandé Randy Fondelot (son coach actuel) pour travailler l’aspect technique sur le sprint. « On a commencé à moins de dix, maintenant nous sommes plus de vingt dans une super ambiance comme à l’US 97 à l’époque» c onfie Jordier qui se spécialise alors sur le 400 mètres «J’ai commencé par le 200 mètres et le 60 mètres en salle en y faisant 3e et 4e pour mes premiers championnats de France, puis à l’été 2011, j’ai vraiment commencé le 400, j’ai très vite aimé cette distance, cette même année, je bats le record de France cadet en 47’27 lors des Championnats du monde en demi-finale, c’était clairement ma discipline et puis le vélo et le 400 mètres se ressemblent au niveau de la tactique et physique, ce sont les jambes qui parlent dans tous les cas ». Le 17 juillet 2013, il bat le record de France de la distance, vieux de 45 ans de Gilles Bertoud (46’31 à Mexico), terminant 3e du Championnat d’Europe à Rieti (Italie). « Battre le record de France était l’objectif de ma saison, si je le battais en finale, j’étais sur de monter sur le podium, c’est exactement ce qu’il s’est passé » confesse Jordier qui garde un œil aiguisé sur ses anciens camarades cyclistes « Je suis les résultats de Yannis Yssaad, et je fais encore la préparation hivernale avec le Team 94 Villeneuvoise (anciennement US 97) où j’ai encore de très bons potes, j’ai d’ailleurs lancé un défi à Melvin Landerneau (Champion de France cadets de vitesse 2013) que l’on se retrouve en 2016, aux Jeux de Rio ». Le rendez-vous est donc pris. Article rédigé par Loic Manceau.

dimanche 23 mars 2014

Flash Infos

Classic Loire-Atlantique

La belle série continue pour l’équipe AG2R LA MONDIALE qui a décroché hier son 8ème succès de la saison avec la magnifique victoire d’Alexis Gougeard sur la Classic Loire-Atlantique. Le coureur normand est allé s’imposer en solitaire après s’être extrait de l’échappée du jour. Il a placé une attaque décisive à dix kilomètres de l’arrivée et résisté vaillamment au retour de ses poursuivants et du peloton.

Crédit photo Laurent Barré

Âgé de 21 ans, Alexis a rejoint cette année le peloton professionnel en intégrant l’équipe AG2R LA MONDIALE. Il n’aura pas attendu longtemps pour décrocher son premier succès et confirmer ainsi les espoirs placés en lui par la formation de Vincent Lavenu.

La réaction d’Alexis Gougeard à l’arrivée : « Je suis vraiment super content pour moi mais aussi pour toute l’équipe AG2R LA MONDIALE. Ça confirme notre excellente dynamique du moment avec pas mal de victoires décrochées ces dernières semaines, j’ai voulu moi aussi en profiter. Lorsque je suis sorti dans le final je n’y ai pas cru tout de suite mais à trois kilomètres de l’arrivée, quand j’ai vu que ça ne s’organisait pas trop derrière moi, j’ai commencé à me dire que c’était jouable ! Depuis le début de la saison j’ai fait mon travail d’équipier du mieux possible. Aujourd’hui, j’avais une petite carte à jouer et il fallait la saisir, c’est ce que j’ai fait ! »


Milan San Remo

Crédit photo Vélo101
Après une échappée de 7 hommes composée de Nicola Boem (Bardiani), Marc De Maar (UnitedHealthCare), Antonio Casimir Parrinello (Androni), Matteo Bono (Lampre), Nathan Haas (Garmin), Maarten Tjallingii (Belkin) et Jan Barta (NetApp) et une tentative de Vincenzo Nibali (Astana)  à 25km de l'arrivée, c'est finalement un petit peloton qui se présente à San Remo qui sacre Alexander Kristoff (Katusha) devant Fabian Cancellara (Trek Factory Racing), auteur d'un enorme sprint, et Ben Swift (Team Sky).




Cholet-Pays de Loire

Le Belge Tom Van Asbroeck (Topsport Vlaanderen-Baloise), 2ème mercredi de la Nokere Koerse, s'impose dans Cholet-Pays de Loire devant son compatriote Sébastien Delfosse (Wallonie-Bruxelles). Plus d'infos à venir.

Changement d'horraire - UFOLEP 91

Les horraires des courses de Villebon-Courtaboeuf (91) le 30 Mars et de Morangis (91) le 6 avril ont été modifiés !!!!
MARS
30
Dim

VILLEBON-COURTABOEUF (91)

Prix Ets FAULCON


1ère cat
2ème cat
3ème cat
     GS/Fem
J15/16
J13/14


Circuit de 2,5 kms

35
31
27
20
20
10

87,5
77,5
67,5
50
50
25

14h30
14h31
9h30
9h31
9h31
9h31

CC Saclay
F. FAULCON
01 60 19 27 10
Départ et arrivée Avenue du Québec près du Bât Microsoft
Dossards Barnum d’arrivée



AVRIL
6
Dim

MORANGIS (91)
ZI SUD
Rue de Savigny
MORANGIS


1ère cat
2ème cat
3ème cat
GS/Féminines
J15/16
J13/14



Circuit de 3 km

28
26
23
17
16
10

84
78
69
51
48
30

15h30
15h31
13h30
13h31
13h31
13h31

TC MORANGIS
SEGAIN Pierre
Tél : 01 69 09 72 45
06 18 55 10 50



Tour d'Ile de France #1 - Résultats

Tour d'Ile de France cadets
C'est sur un circuit relativement plat que s'est déroulée la 1ère étape du Tour d'Ile de France Cadets, le 19 Mars à Dugny (93). Malgré les très nombreuses tentatives d'échappée, un petit groupe de 8 se détache pour se disputer la victoire. Christopher Lamaille (Team 94) s'impose devant son coéquipier Lorenzo Fernandes (Team 94) et Brian Leseur (VC Rouen). 4ème de l'étape, Remi Huens (VC St Quentin) se console en prenant la tête du classement par points. Vallentin Sellier (PAC 95) portera le maillot à pois alors que Brian Leseur portera le maillot blanc, initialement porté par Christopher Lamaille, déjà porteur du maillot jaune. Le maillot rose de féminines ira sur les épaules du récent vainqueur à Argenteuil (95), Elina Dragoni (USM Gagny). Clémence Deriaux (Argenteuil Val de Seine) et Sarah Montana (OCVO) complètent le podium chez les dames.

Christopher Lamaille devra défendre son maillot jaune lors du contre le montre sur la 2ème étape à Sourdun (77) le 2 avril prochain s'il veut succéder à Joffrey Degueurce, vainqueur en 2013.

Tour d'Ile de France cadets
Résultats complets ici
Site officiel ici

Ablis (78)







Le dimanche 15 Juin 2014 se déroulera la course Ufolep d'Ablis : 4 catégories avec un circuit de 12km800

Dossards à partir de 7h30 a coter de la poste , cette année il y aura des puces (prévoir pince coupante ou cutter ).

1ere catégorie : départ 9h pour 7 tours ( attention si il y a pas plus de 15 coureurs , le départ seras avec les 2eme catégories

2eme catégorie : départ 9h03 pour  6 tours

3eme catégorie : départ 9h06 pour 5 tours

GSA et GSB : départ 9h09 pour 4 tours

Parcours ici

Championnat de France Universitaire

Le jeudi 17 et vendredi 18 avril se tiendra le championnat de France Universitaire. Les CLM hommes et dames auront lieu le jeudi alors que les courses en ligne seront programmées le vendredi.


mardi 18 mars 2014

Les engagés de La Vélostar 2014

Eric Ramos, Marion Rousse, Boris Zimine, Tony Gallopin, Luc Leblanc et Raymond Poulidor
La Vélostar 2013

A 48 jours de la cyclosportive La Vélostar 91, la liste d'engagé est à jour !! Il est encore temps de vous engager, alors venez nous rejoindre !!


Inscriptions :



Saint Pierre du Perray (91) - Résultats

Ce dimanche se déroulait la première course de la saison UFOLEP en Essonne à Saint Pierre du Perray (91). Et malgré la présence d'un grand nombre de coureurs essonnien, c'est un coureur de Seine et Marne qui s'impose en 1ère catégorie : Grégory Ortiz du Melun CO 77. Auteur de très nombreux podiums l'année dernière, Emmanuel Martins Joaquim (COSRL 91) prend la 2nde place devant le récent vainqueur de La Jacques Gouin 2014, Baptiste Ansaldi (TCV 91).


Du coté des 2ème catégorie, la victoire revient à Patrick Stilitz (CCSPP 91) devant Gael Cyprien (CCS 91) et Eric Blondelet (AOSMGV 91).

Crédit photo Julien Morbrun

Crédit photo Julien Morbrun


Catégorie la plus représenté, la 3ème catégorie n'a pas réussit aux coureurs essonniens, Hervé Beguinot (COSRL 91), Michel Guilley (CCS 91) et Jules Gibrien (ASCE 91) terminant respectivement 4, 5 et 6ème. La victoire revient à Eric Picou de Villeparisis 77 devant le sociétaire de l'USMPC 77, Benjamin Rousselle. David Jourdain (AS Meudon 92) termine à la troisième place.





Crédit photo Julien Morbrun




En 4ème catégorie, l'ancien Champion du Monde sur Piste Michel Briat (AAOCW 91) échoue à la 4ème place. Gérard Clement (CSL Vernon 27) s'impose devant Jean-Pierre Sevestre (Sept-93) et Eugène Pestel (PCO 91).






Chez les Jeunes, le TCM se montre le plus fort puisques les frères Wolsferberger s'impose dans leur catégorie, Axel remportant l'épreuve cadets et Adrian l'épreuve minimes.

Crédit photo Julien Morbrun
Crédit photo Julien Morbrun



















Les résultats complets ici

jeudi 13 mars 2014

Compte-rendu de la Jacques Gouin

Cyclosportive de Vélostar Organisation, La Jacques Gouin a été résumé sur le site Velo101. Voici l'article.
Bravant les derniers frimas de l'hiver, 750 cyclosportifs se sont rassemblés sur la Jacques Gouin et son parcours unique de 115 kilomètres sur les routes de l'Essonne.
  
Crédit photo Gérard Boivin
Bravant les derniers frimas de l'hiver, 750 cyclosportifs se sont rassemblés le dimanche 2 mars pour la Jacques Gouin, qui semble avoir trouvé sa place tant au calendrier qu'au parc de Villeroy à Mennecy (Essonne), un bel écrin de verdure de 108 hectares doté de toutes les infrastructures nécessaires pour accueillir des participants chaque année plus nombreux. Ils étaient 600 l'an dernier, 750 cette fois-ci. Une augmentation notoire et nécessaire pour se tenir chaud car un bon petit froid polaire (-1° au départ) était également de la partie. De quoi poser problème au moment d'adopter la tenue la plus cohérente, car le soleil annoncé est parvenu à réchauffer rapidement les routes légèrement givrées. Au programme : un parcours unique de 115 kilomètres sur les jolies routes essoniennes.

Afin de gérer au mieux le flux important des cyclos venus célébrer l'ouverture de la saison francilienne, l'organisateur Eric Ramos a donné pour consigne aux voitures ouvreuses de bloquer la course jusqu'à la sortie de Mennecy. Malheureusement l'allure bridée s'est avérée trop lente au goût de la majorité, ce qui a entraîné de nombreux et dangereux ralentissements. Et quelques chutes inévitables.
  
Crédit photo Nicolas Vaucouleur
Mais une fois le paquet lâché dans les forêts et plaines de l'Essonne, chacun a pu trouver sa place et profiter d'un rendez-vous de qualité sur un parcours agrémenté de sept côtes, à commencer par la côte de Beauvais qui a pour nature de faire de suite la sélection et permettre de créer des paquets épars. Ensuite ce fut l'enchaînement traditionnel des difficultés, au rythme d'une bosse tous les 10-15 kilomètres : Moigny-sur-Ecole, Milly-la-Forêt, Gironville... avant de retrouver de la plaine dans le sud-Essonne.

On notera au passage qu'un prix de qualité a été attribué au meilleur grimpeur au sommet de la deuxième bosse, au bout de 30 kilomètres : une belle paire de roues carbone offerte par la société Stevan11. Peut-être aurait-il été plus dans l'esprit du cyclosport d'attribuer ce prix par tirage au sort. Cela aurait également évité que les coursiers de gros niveau soit appâtés par une prime plus importante que celle qu'ils toucheraient sur une course FFC.

Crédit photo Gérard Boivin
Le manque de vent a rendu la course très compacte, trop longtemps, et la fatigue de certains a fini par générer quelques chutes. Il aura en fait fallu attendre la barre des 85 kilomètres pour voir une quinzaine de concurrents s'échapper d'un paquet d'une centaine d'unités. Plusieurs individualités ont alors profité de l'apathie du paquet après la côte de Boutigny pour aller chercher les places d'honneur. A Mennecy, pour la conclusion dans la grande rue de Fontenay-le-Vicomte, c'est Baptiste Ansalda (TCV 91) qui s'est présenté le premier en 3h07'25", devançant au sprint Khalid Assojaa (Elitis BFO Cyclingteam) et Brice Cheriaux (VC Banlieue Sud). Première féminine, Charlène Camin (USMC) a pris la 135ème place du scratch en 3h16'16".

A l'arrivée, chacun a pu profiter du repas de bonne qualité servi dans la grande salle Michel-Ange pour une restauration d'après-course animée cette année par un chanteur solo. On saluera la très belle organisation, sans faille, et les bénévoles aux petits soins, très vigilants notamment en matière de sécurité. D'ores et déjà le rendez-vous est pris pour le deuxième rendez-vous de Vélostar Organisation, la Vélostar 91 le jeudi 1er mai pour la seconde manche du challenge du Conseil Général de l'Essonne ! Les inscriptions en ligne sont déjà ouvertes sur Vélo 101. D'après vélo101

Classement :

1. Baptiste Ansalda (TCV 91) en 3h07'25"
2. Khalid Assojaa (Elitis BFO Cyclingteam) en 3h07'25"
3. Brice Cheriaux (VC Banlieue Sud) en 3h07'26"
4. Ronald Mattioli (Elitis BFO Cyclingteam) en 3h07'33"
5. Gary Auchède (Olympique Grande Synthes) en 3h07'34"
6. Emmanuel Martins-Joaquim (COSR Lardy) en 3'07'34"
7. Mathieu Grandet (Team Bonnat) en 3h07'34"
8. Philippe Rivière (AC Boulogne-Billancourt) en 3h07'35"
9. Gilles Boyer (CCBF) en 3h07'36"
10. Maxime Pavie (AC Thann) en 3h07'42"
...
135 et 1ère Dame. Charlène Camin (USMC) en 3h16'16"

mardi 11 mars 2014

Paris Nice #3


Voici quelques photos de la 3ème étape de Paris Nice de notre reporteur présent sur place.


dimanche 9 mars 2014

Argenteuil (95) - Résultats


Au lendemain de la fête des femmes, les féminines ont pu s'expliquer pour la première fois de la saison sur le très roulant circuit d'Argenteuil (95). Les Minimes et Cadettes ont donc ouvert le festival. Tour après tour, il semblait inévitable que la victoire se jouerait au sprint. Et sur la longue ligne droite d'arrivée, c'est Elina Dragoni (USM Gagny) qui s'est élancé la première et à fait parler sa puissance pour venir couper la ligne devant Lise Hegoburu (CM Aubervilliers 93) et Clémence Deriaux (Argenteuil Val de Seine).


La deuxième course de la journée, le prix Tous Unis pour Clém, à vu s'expliqué les dames Juniors et Dames Séniors avec un plateau relevé. Notons la présence de Alna Burato (CM Aubervilliers 93), championne régionale en titre, Sandrine Bideau (Team Futuroscope) ou encore la nouvelle équipe féminines d'Argenteuil Val de Seine. Les quatre premiers tours seront marqués par de nombreux essais d'échappés, notamment celui de Kelly Gambier (Montrichard cyclisme 41) et d'Alna Burato.

Mais c'est finalement l'expérimenté Elodie Hegoburu (CM Aubervilliers 93) qui déclenche l'échappée de la journée. Elle sera suivie par la toute jeune Sophie Malet (EC Montgeron Vigneux), 20 ans la semaine dernière, et Alessia Bugeia (VC Lisieux). Petit à petit l'écart grandit jusqu'à atteindre la minute. C'est à ce moment que choisit un groupe de 11 femmes pour former un contre. Delbove et Burtato pour le CM Aubervilliers, Gambier pour Montrichard, Fenart et Robert pour Villeneuve La Garenne et Bideau pour la Team Futuroscope. Rapidement, ce groupe revient sur l'échappée qui n'est plus qu'à 24s, on pense alors que l'échappée sera revu, mais c'était sans compter sur l'expérience Hegoburu, dernière lauréate de la Coupe de France. L'échappée reprend le large et on ne voit plus qui pourra venir contester la victoire à ses trois femmes, malgré les vaines tentatives en solo dans le groupe de contre. Elles se présentent donc sur la ligne droite finale et c'est Sophie Mallet qui s'impose devant Alessia Bugeia et Elodie Hegoburu. Kelly Gambier régle le contre au sprint et termine 4ème.



La réaction de Sophie Malet :"Je suis très heureuse de cette victoire étant donné qu'en plus la veille au soir je fêtais mes 20 ans ! Ca fait plaisir de regoûter à la victoire après tant d'années. C'est Elodie qui lance l'échappée. J'étais dans sa roue. Je l'ai vu remontée le peloton et hop je suis allée dans sa roue. On est parti dès le 3ème tour ! On s'est vite bien organisé. Elodie nous donner de bons conseils. J'ai tout donnée, à la fin j'en pouvais plus. J'étais à fond tout le temps (195 puls de moyenne !)"

Après avoir pris rapidement 50s d'avance, le peloton est revenu à 20s qu'as tu pensé à ce moment de la course ?
"C'est vrai qu'à ce moment-là j'ai commencé à avoir des petits doutes mais avec Elodie et Alessia ont a rien lâchés, même si à certains moyens j'ai laisser quelques relais car j'étais dans le dur (début de crampes). Mais l'entente dans l'échappée m'a rebouster. Cela aurait été tellement dommage de s'être fait reprendre dans les derniers tours !"

Chez les hommes, Thomas Waree (Argenteuil Val de Seine) s'impose à domicile après avoir battu au sprint ses compagnons d'échappées.


Résultats :

Photos :

samedi 8 mars 2014

Les cinq raisons pour lesquelles ce Paris-Nice 2014 sera plus intéressant que l'on veut bien le dire

Plateau séduisant et parcours très ouvert : la course au soleil s'annonce mouvementée, même sans Richie Porte ni haute montagne.



Oui, ce Paris-Nice se fera sans chrono ni haute montagne. Oui, il manque les grands noms du Tour de France. Et pourtant... Avec un plateau séduisant et un parcours qui devrait en surprendre plus d'un, la course au soleil s'annonce une nouvelle fois excitante pour marquer le début des choses sérieuses dans la saison 2014. Des jeunes à suivre, en passant par les coureurs présents et les détails du parcours, voici pourquoi cette édition 2014 de la Course au soleil a de bonnes raisons d'être passionnante à suivre.

Le plateau n'est pas si faible que cela



Les organisateurs de Paris-Nice ont essuyé un nouveau coup dur vendredi, avec le retrait du vainqueur sortant Richie Porte, que la Sky préfère mobiliser sur Tirreno-Adriatico. Cette absence s'ajoute à celle de Froome, Quintana, Purito ou encore Contador. Mais qu'ASO se rassure, le plateau de cette édition n'a rien à envier à celui des précédentes. À suivre notamment, le champion du monde Rui Costa (Lampre) et le vainqueur du dernier Giro, Vincenzo Nibali (Astana). Pour l'emporter, ils devront notamment batailler avec le prodige colombien Carlos Betancur (AG2R), l'Américain de plus en plus affirmé Tejay Van Garderen (BMC) et l'Australien qu'on n'arrête plus, Simon Gerrans (Orica). Sans oublier quelques stars du peloton comme Tom Boonen (OPQS) ou Taylor Phinney (BMC). Et pourquoi pas une performance des frères Schleck ? À moins que les Français ne leur volent la vedette. Sylvain Chavanel (IAM) veut garder ses bonnes habitudes sur Paris-Nice. Thomas Voeckler (Europcar), Tony Gallopin (Lotto) ou le champion de France Arthur Vichot sont prêts à le bousculer.

Pas de chrono ? Tant mieux !

Le contre-la-montre n'a pas toujours fait le bonheur de Paris-Nice. Prenons les éditions 2011 et 2012 : les succès de Tony Martin et Bradley Wiggins s'y sont construits dans l'exercice solitaire, loin des joutes à couteaux tirés que la Course au soleil peut réserver. Avec ce genre de parcours, les grimpeurs savent qu'ils n'ont aucune chance et les rouleurs cadenassent la course. En enlevant toute épreuve chronométrée de cette édition 2014, les organisateurs de Paris-Nice ont ouvert le jeu.

Un parcours très indécis

Sur huit jours de course, difficile d'identifier les étapes où les leaders pourront se relâcher. Seules la première et la troisième semblent destinées à un sprint massif. Dès lundi, vers Saint-Georges-sur-Baulche, arrivée musclée avec des faux-plats pour casser les jambes dans l'emballage final. Les puncheurs puissants seront encore mieux servis le samedi, vers Biot. Au milieu, les quatrième et cinquième étapes s'annoncent bien plus musclées, avec ascensions de deuxième catégorie à moins de quinze kilomètres de l'arrivée. De quoi séduire puncheurs, grimpeurs et aussi descendeurs. Il faudra tout de même être très costaud vers Belleville (4e étape) avec des passages à 25% dans la dernière difficulté du jour ! Vendredi, c'est toujours casse-pattes, vers Fayence, avec quatre difficultés dans les 55 derniers kilomètres et notamment le col du Bourigaille (1re caté), avant le mur final de Fayence. Enfin, le dernier jour de course mènera le peloton vers la promenade des Anglais après les ascensions de la côte de Peille et du col d'Eze. La dernière montée d'un parcours en montagnes russes qui devrait inspirer les coureurs. Tous les types de coureurs.


A la découverte de futures stars

Briller sur Paris-Nice à très jeune âge, c'est souvent garantie de grandes réussites futures. On pourrait citer Alberto Contador, vainqueur en 2007 avant de s'imposer sur le Tour. Mais l'exemple le plus marquant se nomme Peter Sagan. Pour la deuxième épreuve World Tour de sa carrière, le jeune Slovaque de 19 ans est venu décrocher deux étapes et le maillot vert en 2010, malgré une vraie concurrence. Pour cette édition 2014, de nombreux jeunes ont les dents longues et rêvent d'un destin à la Sagan. À commencer par son coéquipier Davide Villella (Cannondale) en vue sur les courses italiennes de fin de saison 2013 alors qu'il n'était que stagiaire. Sixième du Tour de San Luis puis quatrième au Tour Méditerranéen, le grimpeur argentin Eduardo Sepulveda (22 ans) sera lui très attendu lors du week-end final, en prévision du Tour de France où il doit emmener la formation invitée Bretagne-Séché. Parmi les autres coureurs à suivre, on citera notamment le grimpeur suisse Sebastian Reichenbach (24 ans, IAM), le puncheur britannique Adam Yates (21 ans, Orica GreenEdge) ou encore le grimpeur russe Sergey Chernetiskiy (23 ans, Katusha).

Bref, et si on revivait 2010 ?

Il y a quatre ans, Paris-Nice vivait une édition riche en mouvements. Le plateau était de très bonne qualité (les vainqueurs 2009 du Tour et de la Vuelta Contador et Valverde, le tenant du titre Luis Leon Sanchez, le Français Sylvain Chavanel au sommet, Fränk Schleck en verve...) et le parcours propice aux offensives. La victoire était revenue à Alberto Contador devant Alejandro Valverde et le tenant du titre. Mais si les écarts se sont surtout créés au sommet de la Montée Laurent Jalabert, à Mende, les deux adversaires du Madrilène ont attaqué le leader d'Astana presque tous les jours, jusqu'au dernier col de cette édition 2010, le Col d'Eze grimpé presque à l'attaque du début à la fin. Cette année encore, le parcours et le plateau de l'épreuve nous mettent l'eau à la bouche. Et si le nom du vainqueur final de ce Paris-Nice 2014 venait à se décider uniquement sur cette ultime ascension d'Eze, avec une nouvelle pépite comme Peter Sagan en 2010, cette édition serait vraiment un grand cru. D'après Eurosport.com